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Life is a (Miami) beach… * NY French Geek

Life is a (Miami) beach…

Posted on July 1, 2013 by admin

beachingUn maillot de bain, deux douches, trois repas, quatre litres d’eau, cinq semaines. Routine quotidienne rythmée. J’attendais ce voyage avec impatience. Il s’est avéré encore plus cool qu’imaginé. Mais je ne vais pas vous raconter mes journées bercées par la houle parce qu’elles sont assez similaires aux vôtres quand vous êtes à la mer. Je suis en tongs Havaianas bleues turquoises 24/7 et je vais à la plage, à la piscine, je mange des salades en terrasse et je me ballade près de la mer le soir, avec une Häagen-Dazs Dulce de leche dans la main, en Havaianas, toujours. Des lundis au soleil, tous les jours. Ce que j’aimerais partager avec vous, c’est surtout mon ressenti sur la beauté de cet endroit, pourtant entaché d’une réputation bizarre. Boobs land et ses clubbeuses siliconées, Booba land et les bastons entre rappeurs français, Beef land et ses bodybulders sous cachets, Berk land et ses Eurotrash dépravés. C’est vrai que le soir, South Beach change de visage et devient un brin moins présentable. Faut juste pas se laisser berner par le paraître. L’être n’est pas bien loin. Mon Miami à moi, il rime avec soleil, sport, art déco, sourire, yummy, et petits prix… Le reste j’ai choisi de l’esquiver. En plus de mon ressenti, je vais aussi partager avec vous quelques bonnes adresses. So sit back, relax, and enjoy the ride !

La liberté. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit quand je saute sur mon vélo et que je commence à pédaler dans les rues de South Beach. Pas que je ne sois pas libre le reste du temps, non non, je sais bien que Paris n’a rien d’une prison. Paris est magique, c’est bien connu. Mais cette liberté, je l’avais déjà ressentie à New York. Elle est rafraîchissante. Elle est bienfaisante. Elle est spéciale. Cette liberté. Et ceux qui ont voyagé en Amérique du nord la connaissent peut-être. Elle peut déconcerter, déstabiliser. Tout est si facile, si simple, si clinquant, sans jugement, jamais. Les extrêmes flirtent avec la norme, toujours. D’ailleurs il ne faut pas la consommer sans modération, cette liberté, sinon on se retrouve avec des jeunes un peu perdus, en t-shirt Yolo sous molly et tatouages sur le visage comme Gucci Mane, sans valeurs, ni saveurs. Moi je l’apprécie et je la chéris. Sur mon vélo à Miami, je me sens libre. Et soudain, à l’ombre d’un palmier, cette brise. Comme une bouffée de bonheur. Faut dire que je pédale depuis quelques minutes et déjà, la chaleur est quasi intenable. Mes lunettes de soleil glissent sans arrêt. J’ai les tempes humides. La peau luisante. J’avance doucement mais sûrement sur mon beach cruiser loué pour le mois. Un engin un peu gauche avec freins à rétro-pédalage qui me rappelle Center Park et mes 10 ans. Et là, souffle la brise. Quel kiffe. Bienvenido a Miami. Je roule le long de la plage, et je souris. Tout sourit ici. Mes orteils frétillent d’être enfin à l’air libre, en pleine action sur ces pédales de location. Mes cheveux, sans brushing, ni spray, ondulent à l’image des vagues qui déferlent sur la plage en ce sublime jour de juin. Ma peau caramel a oublié tous ses défauts et se délecte des rayons du soleil, mes yeux dénués de maquillage voient soudain plus clair, et mes gambettes, qui ne cessent de pédaler, nager, courir, marcher, depuis mon arrivée, n’ont jamais été aussi en forme. Littéralement. Il y a eu l’hiver sans printemps, mollasson et gris. Place à Miami, aussi coloré qu’un couché de soleil estival. J’ai l’impression d’avoir effacé des mois de fatigue et de stress en quelques jours à South Beach, familièrement appelé SoBe (prononcez So-Bi). Adieu crèmes anti-cernes, anti-âge, anti-cellulite, anti-pollution, anti-tout. Bonjour vitamines A, B, C, D, et l’alphabet au complet. Bonjour MIAMI.

bikemiami

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en venant ici si longtemps. J’avais envie d’ailleurs. J’avais envie d’Amérique. J’avais envie de calme. J’avais envie de couleurs. Mais j’avais pas envie de New York. Miami a relevé le défi haut la main. J’y ai fait plein de choses. J’y ai fait le plein. J’ai travaillé, déjà, mais en dehors de ça, j’ai lu. De Diam’s à Ollivier Pourriol, en passant par la maman de Liv, j’ai lu, lu, lu des auteurs bien différents. J’ai fait plein de sport. Plein, plein, plein. Un régal. J’ai conduit un 4×4 sur Collins avenue, les fenêtres grandes ouvertes avec du Futur ou du Trinidad James dans les enceintes ; volume au max. So cliché. Mais obligé ! J’ai même conduit quelques instants un scooter de mer aux alentours de Star Island, avant de repasser le volant parce que la vitesse, ça me fait trop peur en fait. J’ai crié, devant ma télé pendant les finales NBA. Je me suis emballée lors du Game 6, croyant que San Antonio allait gagner. TP, Diaw, aller ! Mais non. Pas grave, Miami avait un air de fête grâce à ces finales qui m’ont accompagnée tout le long de mon séjour. J’ai mangé, mais qu’est-ce que j’ai bien mangé ! Et j’ai ri, ri, ri. Sur mon vélo, dans les vagues, au resto, en voiture, sur Skype. J’ai ri. J’ai dansé aussi, un peu. En boîte, pas loin de French Montana. Et j’ai kiffé en fait. Surtout. Beaucoup. Alors maintenant je vais prêcher la bonne parole. Mesdames et messieurs. Miami c’est top. Vous devriez y aller. Vous devriez venir. Sentir la brise, la liberté, et aérer vos orteils ici. D’ailleurs, c’est l’été, c’est les vacances, et si vous n’avez encore rien booké, ne cherchez plus. Miami mon ami.

Miamibeach

Entre la longue plage et son eau délicieusement chaude, la piscine de l’hôtel ou du gym, les ballades en vélo le long de la mer, le shopping sur Lincoln Road, les brunchs, les lunchs, les dîners, les soirées sur un rooftop et les siestes parce qu’il fait vraiment trop chaud l’aprem’, entre une ballade downtown, un saut à Wynwood voir les murs de graffiti, un matinée au spa et une aprèm’ jet ski, une rencontre avec les alligators dans les Everglades, une virée shopping à Sawgrass Mills ou autre attraction vendue à tour de bras sur South Beach, croyez-moi, votre séjour passera en avance rapide. Pas sûr que vous fassiez tout ce qui est sur votre liste d’ailleurs, parce qu’une fois sous ce soleil de plomb, une flemme monumentale risque de vous envahir. On a juste envie de se jeter à l’eau et d’y rester pour la journée entière. Et si c’est ce pour quoi vous optez, faites moi le plaisir de ranger l’huile solaire 6 qui protège du soleil de Bretagne, et mettez vous en mode SPF 50. Franchement on bronze tout aussi bien tellement le soleil est hardcore. Parole d’initiée qui n’a pas eu un seul coup de soleil du séjour. Mais je vois tellement de touristes avec des rougeurs bizarres sur la moitié des mollets ou des marques de bretelles blanches disgracieuses au milieu d’un dos écarlate qu’il me semble essentiel de vous mettre en garde… Vous voilà en garde. Allez, on passe aux do, don’t et bonnes adresses…

Avant le séjour…

Les billets  !

Le plus tôt vous bookez vos billets, le mieux ce sera. La haute saison ‘miamienne’ est du 1er janvier au 1er mai, en dehors de ces dates, vous devriez être en mesure de trouver des prix décents si vous préparez votre voyage en avance. Il n’y a que Air France et American Airlines qui offrent des vols directs pour MIA depuis la France. Par moment, certaines compagnies ouvrent des lignes, comme XL Airways, qui dessert Miami de fin juin à fin août. Prix intéressants. Faut bien chercher dans les offres du net, y’a parfois des perles, mais c’est moins évident que pour New York. En gros l’aller-retour tourne autour de 700 / 800 euros à l’avance.

Le logement !

Privilégiez Miami Beach. Et si vous pouvez, choisissez même South Beach, qui s’étend de 1st street à Lincoln Road. Le coin est adorable, il a été construit en plein boom art déco dans les années 20/30. Résultat, des immeubles de trois à quatre étages aux lignes élégantes dominent ce quartier. Les tons sont magnifiques, allant du blanc, aux pastels, en passant par des couleurs plus vives. Dans ce petit espace on peut tout faire. Plage, piscine, shopping, vélo, restos, clubs, tout. Prenez un hôtel si vous ne restez que quelques jours. Par contre, au delà d’une semaine, faites une loc’ ou une sous-loc’ d’appart’. Tout le monde parle d’airbnb.com, c’est une solution. Il y a aussi des agents indépendants, notamment Greg et sa boîte MVP Miami qui assure pas mal (et en plus il parle français !). L’appart que j’ai loué sur South Beach, (trouvé grâce à mon blog d’ailleurs, merci la providence !) était super pratique. Situé sur 10th street et Meridian Ave, j’étais au cœur de tout sans être trop près de l’hystérie touristique. Un appart’ de plage sans prétention mais bien cool. En gros, vous pouvez trouver des locations décentes à 100 dollars la nuit pour deux personnes. Si vous restez un mois, il faut prévoir au moins 2000 dollars pour un meublé, clé en mains. Faites vos comptes ; ce sera toujours moins cher qu’un hôtel…

Notez d’ailleurs que les hôtels sur South Beach sont souvent très beaux à l’extérieur, très art déco chic. Mais faut savoir qu’ils ont été construits à l’époque pour la classe ouvrière américaine. Les chambres ont été faites petites, c’est mal insonorisé et ça ne vieillit pas forcement avec charme. Si vous optez pour l’hôtel, lisez bien les commentaires des sites comme tripadvisor ou booking. Ça donne un bon aperçu. J’ai déjà passé des vacances au Essex House, à l’Aqua et au Loft, c’était bien… mais j’ai entendu de drôles d’histoires sur certains endroits. Aussi, évitez Ocean Drive, c’est le repère des étudiants en quête de sensations fortes pour le week-end. La rue ne dort jamais. Ceux qui y logent non plus, probablement.

Livingsocial et Groupon !

En amont du voyage, inscrivez-vous aux offres d’achats groupés type Livingsocial. Vous y ferez forcément de bonnes affaires. Dîners, mani-pedi, sport et j’en passe. Je me suis dégotée un mois de sport illimité dans la salle David Barton ainsi que deux heures de jet ski. Sans ces offres, ces activités auraient été en dehors de mon budget (200$ + taxes le mois au gym, thanks but no thanks). Et je peux vous assurer que mon accès au David Barton avec ses cours de yoga, de spinning et sa piscine vue mer m’ont bien fait kiffé !

Sur place…

L’aéroport !

Une fois arrivés à Miami, si vous ne louez pas de voiture directement à l’aéroport, vous avez plusieurs options pour vous rendre à votre lieu de résidence : Le bus pour South Beach coûte 2,35$ , le taxi, 30$ (tip compris), les navettes express type Super Shuttle, 20$ par personne. Le bus, pour l’avoir pris plein de fois, c’est franchement pratique. Faut suivre la direction MetroBus / MetroRail, et prendre un petit airtrain. Après, il faut attraper le 150, qui passe toutes les 30 minutes (à pile et à 30) et vous êtes à South Beach assez rapidement. Il descend Washington Ave. Donc si vous logez sur Collins, Washington, ou bien Meridian comme moi, c’est parfait.

Je recommande

– Le 150 / Airport flyer : horaires dispo ici

Transports !

Pour louer une voiture sur SoBe, vous pouvez aller voir l’agence Budget, sur West Ave au niveau de 10th street. Sam vous recevra bien. Les prix sont vraiment pas chers si vous bookez la location via le site français de Budget et que votre CB comprend des assurances spécifiques (type Visa Premier). Ainsi vous n’aurez pas à régler les assurances locales qui plombent souvent le total. Notez aussi que le parking n’est évident à Miami. Il faut tout le temps payer. Si vous louez un appart’, précisez à vos proprios que vous voulez des guest pass, payants, pour pouvoir vous garer dans votre secteur, les places étant réservées au parking résidentiel. Aussi, tout est excuse à se manger une prune. J’ai pris une contravention pour m’être garée à contre sens. En France ça passe, à Miami ça casse.
Si vous voulez louer un vélo, il y a désormais des bornes Deco Bike type Velib, à tous les coins de rue. C’est un peu cher. Bonne option pour une demi-heure ou une heure, mais quitte à faire la journée voire la semaine (ou le mois !), je vous conseille d’aller chez Funride. Ce sont des Français qui tiennent le store, ils sont super cool, y’a pas de caution, et leurs beach cruisers font l’affaire. Sans mon vélo, je n’aurais jamais apprécié Miami de la même façon. Elu officiellement l’investissement du mois !
Un scooter ? Why not, mais pour rester sur Miami beach, les vélos suffisent et pour faire de la route, mieux vaut une voiture. Ce qui est drôle c’est que le port du casque n’est pas obligatoire en scoot mais les lunettes de soleil sont, elles, le sont.
Le bus est aussi pratique. Notez qu’il y a le South Beach local qui fait des allers/retours sur Washington et qui ne coûte que 25 cent !
Enfin, le taxi n’est pas très cher non plus. Ils sont jaunes, nombreux, et les chauffeurs parlent souvent français. Haïti oblige !

Je recommande 

– Budget South Beach, 959 West Ave, pour la location de voitures.
– Sobe Funride, 1206 Washington Ave, pour la location de vélos et autres engins qui roulent.

Shopping !

Pour faire les courses de base pour l’hôtel / l’appart, vous pouvez vous contenter de la pharmacy et vous nourrir de produits surgelés quand vous n’allez pas au resto. Mais ce serait dommage. Si vous avez une petite cuisine, allez au Whole Food, sur Alton Road, croisement 10th street. Le meilleur de ce que l’Amérique peut fournir. Tout est bon, tout est bio, tout est cher. Mais au moins, vous n’avez ni mal au ventre, ni la peau grasse après quelques jours sur place ; contrairement aux fois où vous vous nourrissiez de junk food. Autre option, l’immense Publix, au croisement de 6th street et Alton. Grand supermarché de base, où vous trouverez tout, même des Petits Écoliers et du beurre Président. Si vous pensez faire des courses régulièrement, n’hésitez pas à prendre la carte de fidélité des supermarchés du coin. J’ai fait ça au Walgreen, c’est des économies d’au moins 25% sur chaque passage en caisse.

Côté shopping, le vrai shopping de choses sérieuses, écoutez, premièrement je tiens à vous dire que comparé à New York, c’est du pipi de chat, c’est nul de chez nul. Cependant, j’ai eu quelques belles surprises. Comme d’hab’, tout est toujours en solde. Sur Lincoln Road, vous trouverez donc des prix chez H&M, Aldo, Steve Madden, Guess, Anthropologie, Y-3, Forever 21, etc. Pas de promos particulières pour les baskets par contre, grosse déception. Y’en a des mortelless chez 1973, mais ça reste cher. Sur Collins, filez chez Levi’s, Gap, Sephora, Nine West, etc. Toujours des bons prix. Autre plan : le Macy’s. Pour rappel, les étrangers ont 10% de remise supplémentaire, faut donc bien préciser à la caisse que vous êtes des touristes, hein. Là encore, promo à tout va. Chaussures, vêtements, sacs, parfumerie, le shop n’est pas du tout intéressant pour ses articles à prix réguliers, mais quand ils font des promos, vous pouvez trouver des trucs à -70, 80%. J’ai trouvé un jean Levi’s à 10$ pile à ma taille. Par respect pour je ne sais quoi, je l’ai acheté.

Mais là où j’ai le plus dépensé, parce que comme d’hab’ quand je viens ici, je refais la garde robe de ma famille, c’est à TJ Maxx. En fait, il y’a une sorte de centre commercial à 5th et Alton Rd, avec un Ross et un TJ Maxx. Type Century 21. Immenses solderies. Mot d’ordre : PAS CHER. Y’a de tout, du sac Chloé à 1000$ , au maillot de bain Marc Jacob, au polo Ralph Lauren à 35$ , Converses fleuries à 25$ , Levi’s à 20$ . J’ai trouvé plein de shorts, robes et autres accoutrements de rigueur en Floride. Mais je réitère, comparé à New York, c’est du pipi de chat.

Pour les fans de magasins outlet, il y a aussi le centre commercial Sawgrass Mills. Pour y avoir shoppé, je ne vous conseille pas vraiment d’y aller. Et si vous tentez quand même l’aventure : prenez le temps avant d’acheter. Les magasins des marques sont extrêmement chers pour des sorties d’usines. Par contre les shops autour valent un peu le coup. Faut fouiller. Mais il y a tellement de monde, tellement de boutiques, tellement d’offres, que moi ça m’a chauffé, et j’ai préféré faire mon shopping au TJ Maxx à côté de chez moi. Donc à voir, en fonction de vos budget, priorité et envie. Pour y aller en car, c’est environ 30$ par personne. Mieux vaut évidemment y aller en voiture.

Je recommande

– Solderies TJ Maxx et Ross, 1149 5th St (croisement Alton Rd et 5th St.)
– Les shops de Lincoln Road et de Collins entre la 5th et le 8th St.
– 1973 (pour les baskets), 100 16th St.

Sport !

Les grands hôtels ont tous un gym ou une piscine. Usez les ! Si vous voulez vous inscrire à un gym, préférez le David Barton au Crunch. Aussi, vous êtes obligés de mettre vos baskets et d’aller courir le matin ou le soir près de la mer. C’est magnifique, la lumière est splendide et l’ambiance, délicieuse. C’est la réunion des amoureux du footing, ceux qui sont beaux et bronzés, qui écoutent leur iPod les pecs à l’air, sans un pet de graisse. Si c’est pas du footing, ce sera du vélo. Il y a une promenade idéale pour les cyclistes le long de la mer, de la 5th à la 23th street. Poussez même jusqu’à downtown par la 17th street en traversant plein de petites îles trop mignonnes. Je le répète, le vélo est parfait pour Miami Beach ! Et si vous n’aimez pas le vélo, marchez, ou nagez dans la mer au delà des vagues. Un régal. Sinon vous pouvez aussi faire du yoga sur la plage au niveau de la 3rd street. C’est gratuit ! Rendez-vous à 7h du mat, ou 18h. Motivé motivé ! Enfin, les derniers vendredis du mois, il y a un grand rassemblement de cyclistes, downtown, le Miami Critical Mass pour une promenade d’une vingtaine de kilomètres à vélo. A faire !

Je recommande

– La salle de sport David Barton, 2323 Collins Ave, un must si vous restez à Miami un moment (abonnement au mois). Si vous voulez prendre un personal trainer là-bas, demandez Théo. The best !

Restaurants !

Zagat est mon meilleur ami aux États Unis ! La plupart des restaurants ici sont notés sur 30 par ce guide, devenu un incontournable (récemment racheté par Google, vous pouvez donc voir les notes des restos sur Google Maps). Il se base sur les témoignages des clients et compile leurs notes et commentaires. Résultat, vous savez assez rapidement s’il fait bon mettre les pieds dans tel ou tel endroit. Vous remarquerez bien vite que sur Ocean Drive, les bons restos ne se bousculent pas. C’est cher et grossier. Quitte à en tester quelques uns, mieux vaut s’y rendre en journée, pour le petit déjeuner ou le lunch. Moins bruyant, moins bling. Le soir privilégiez des restos d’hôtels, chics et cosy, à l’abri du brouhaha.

Je recommande

– Pas chers : Paul, 450 Lincoln Rd (C’est comme à la maison !) ; Clevelander, 1020 Ocean Drive (le sandwish au poisson avec coconut crust est au top) ; Sushi Samba, 600 Lincoln Rd ; David’s Coffee (les tostones !), 1058 Collins Ave ; Koné (la salade de crevettes !), 232 5th St ; Eva Bistro, 1506 Collins Ave et Las Olas Café, 644 6th St.
– Plus chics & chers (sur réservation) : Katsuya au SLS, 1701 Collins Ave ; Casa Tua, 1700 James Ave ; Otentic 710 Washington Ave (Attention, ils déménagent bientôt !) ; Zuma, 270 Biscayne Blvd Way (downtown).

Party !

Attention ! Faire la fête c’est un budget à part entière à Miami. D’ailleurs si vous avez des tips, allez-y, parce que moi, les rares soirées où je suis allée, l’entrée était à 30$ minimum même pour les femmes. Les meilleurs clubs sont, de réputation, Liv, Bamboo, Set, Cameo, Mansion, Story… Mais bon, toujours la même rengaine. Cover : 30, 40, 50$ . Faut faire la queue, bla bla bla. Je sais, c’est la norme pour les clubbeurs, mais moi ça m’a saoûlée ! J’ai préféré de loin les ambiances lounge des bars d’hôtels comme le W ou SLS. Très classe, good people. Quand j’ai été à Story avec French Montana en guest apperance, c’était une autre histoire ! La classe n’était pas le maître mot de la soirée. Conseil : prenez bien votre carte d’identité avec vous, faute de quoi vous vous verrez refuser l’entrée, même si vous avez l’air d’avoir bien plus que 21 ans…

Je recommande (sans prétention car je suis pas clubbeuse du tout !)

– Story, 136 Collins Ave (Attention, cover de 30$ minimum)
– C-Level au Clevelander, 1020 Collins Ave. Il faut aller à l’entrée sur le côté et prendre l’ascenseur jusqu’au rooftop (cover free)
– W Hotel, 2201 Collins Ave. L’entrée du bar est après l’entre de l’hôtel, sur la droite (cover free)
– SLS, 1701 Collins Ave (cover free)

Voilà mon récit floridien. Mais bon, Miami c’est bien plus que ces quelques adresses listées ci-dessus. C’est une ville chaleureuse, souriante, métissée, avec une histoire intéressante (d’ailleurs le Art déco walking tour est chouette !) et une qualité de vie incomparable. C’est une ville qui vaut le détour. Et pour ceux cloués sur leur chaise de bureau, à défaut d’y aller, j’espère que mes mots ont valu mille images…


via thetravelingirl
The Travelin’ Girl

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