Les New Yorkais sont en comp\u00e9tition permanente (les jeux olympiques ce n’est rien \u00e0 c\u00f4t\u00e9, croyez-moi)–selon le milieu dans lequel vous \u00e9voluez, il faut \u00eatre le plus fort \u00e0 ceci, la meilleure en cela–mais \u00e0 Rosemary’s, m\u00eame si nous \u00e9tions tous en comp\u00e9tition pour avoir une table le plus rapidement possible, la plupart des clients \u00e9tait aussi l\u00e0 pour se montrer et \u00e9tablir leur “pedigree” dans des domaines qui habituellement ne se c\u00f4toient pas de fa\u00e7on si fluide.<\/span><\/span><\/div>\n Ma contemplation est bri\u00e8vement interrompue quand on nous demande gentiment de changer de table… \u00ab parce que la demoiselle au bar qui vient de s\u2019\u00e9vanouir on va lui donner une place assise avec ses amies tout de suite \u00bb\u2026 (une bonne combine, \u00e0 retenir pour la prochaine fois!). <\/span><\/span><\/div>\n via
Vanity Fair<\/i> (Mira Nair, 2004) <\/div>\n
\nMarion en V.O<\/a>
\n