“He is one of the greatest and most talented French comedians in the last 50 years” – Gerard Depardieu<\/p>\n
Richard is a master he can make an audience laugh to the point of tears or subtly reach our deepest emotions. \u201cFranchise postale\u201d, his latest show presented throughout the fall in Paris, is a brilliant self-portrait of “a fine actor, a passionate, witty and generous man.<\/p>\n
The play is in French with Russian translation (Yeah, Russian are big fan too).<\/p>\n
Sorry, the show is not translated in English. But if you speak French or Russian, critics are dithyrambic:<\/p>\n
\u00ab Il est tel qu’on s’en souvient, grand blond avec des baskets, arpentant la sc\u00e8ne comme si c’\u00e9tait un boulevard, lan\u00e7ant bras, jambes et gentilles vacheries avec une extravagance de talent qui fait crouler la salle. La sc\u00e8ne grandiose de la repr\u00e9sentation de Jules C\u00e9sar, plus “richardien” que “shakespearien” au TNP rel\u00e8ve du g\u00e9nie. M\u00eame si parfois ses jeux de mots ressemblent \u00e0 des queues de poisson, on le remercie d’\u00eatre rest\u00e9 lui-m\u00eame, distraitement pr\u00e9cis, lui qui pr\u00e9f\u00e8re observer une minute de bordel qu’une minute de silence \u00e0 la m\u00e9moire de ses copains envol\u00e9s vers d’autres cieux. En une heure quinze, son spectacle requinque le moral le plus \u00e0 plat. Monsieur Richard, vous \u00eates indispensable.” Le Point<\/a>, par B. Hernandez.<\/p>\n We have balcony tickets with 30% OFF here.<\/p>\n<\/div>\n <\/p>\n Accompagn\u00e9 d\u2019un musicien, Pierre Richard r\u00e9pond \u00e0 des lettres d\u2019admirateurs d\u00e9sopilantes (\u00e9crites par son ami Christophe Duthuron et l\u2019acteur).<\/p>\n \u00ab Au travers de ses r\u00e9ponses, l’acteur se confie, \u00e9voquant des sujets aussi anecdotiques que ses doutes, ses remises en question, son rapport \u00e0 la c\u00e9l\u00e9brit\u00e9, \u00e0 l’\u00e2ge, sa vision de la soci\u00e9t\u00e9, abordant \u00e9galement des th\u00e8mes plus essentiels comme le Festival de Cannes, les soir\u00e9es mondaines, l’\u00e9charpe de Charles Aznavour ou les rages de dents du mime Marceau. Il nous livre au passage une foule d’anecdotes savoureuses, que ce soit sur son mai 68 en forme de courage fuyons, un tournage tr\u00e8s nouvelle vague, des rencontres avec Jean Carmet, Georges Brassens ou encore Jerry Lewis. \u00bb (plus d\u2019info<\/a>)<\/p>\n Plein d\u2019humour, de nostalgie\u2026Celui qui nous a tant fait rire dans le grand blond et une chaussure noire est bien l\u00e0 et toujours aussi dr\u00f4le. Et cela nous ram\u00e8ne 20 ans en arri\u00e8re. Mais lui n\u2019a pas vieilli…<\/p>\n Les critiques sont dithyrambiques :<\/p>\n \u00ab Il est tel qu’on s’en souvient, grand blond avec des baskets, arpentant la sc\u00e8ne comme si c’\u00e9tait un boulevard, lan\u00e7ant bras, jambes et gentilles vacheries avec une extravagance de talent qui fait crouler la salle. La sc\u00e8ne grandiose de la repr\u00e9sentation de Jules C\u00e9sar, plus “richardien” que “shakespearien” au TNP rel\u00e8ve du g\u00e9nie. M\u00eame si parfois ses jeux de mots ressemblent \u00e0 des queues de poisson, on le remercie d’\u00eatre rest\u00e9 lui-m\u00eame, distraitement pr\u00e9cis, lui qui pr\u00e9f\u00e8re observer une minute de bordel qu’une minute de silence \u00e0 la m\u00e9moire de ses copains envol\u00e9s vers d’autres cieux. En une heure quinze, son spectacle requinque le moral le plus \u00e0 plat. Monsieur Richard, vous \u00eates indispensable.” Le Point<\/a>, par B. Hernandez<\/p>\n La piece est Fran\u00e7ais et traduite en Russe (qui sont fans aussi !)<\/p>\n BunchOP propose aussi des tickets pour le balcon \u00e0 -30% ici<\/p>\n<\/div>\n <\/div>\nConditions<\/strong><\/h3>\n
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40% off pour Franchise Postale, le spectacle de Pierre Richard au Town Hall, le 1er Mai \u00e0 20h: ticket \u00e0 $ 60 (au lieu de $ 100, Orchestre\/Loge)<\/strong><\/h2>\n