Les deux marques viennent d’ouvrir leur nouveau magasin\u00a0<\/span>\u00e0\u00a0<\/span>quelques jours d’intervalle\u00a0<\/span>\u00e0\u00a0<\/span>New York. Ces deux magasins m\u00e9riteront chacun leur article complet plus tard, mais ce qui m’a choqu\u00e9 le plus en visitant ces deux magasins est la diff\u00e9rence dans l’exp\u00e9rience de paiement de ses achats.<\/span><\/p>\n

Les deux marques adoptent deux strat\u00e9gies diff\u00e9rentes.<\/span><\/p>\n

Chez Nike: le paiement est mobile et il n’y a qu’une seule caisse fixe d’une personne pour les 5 \u00e9tages du magasin g\u00e9ant. Chaque employ\u00e9 du magasin est \u00e9quip\u00e9 d’iPhone afin de communiquer avec leurs \u00e9quipes, de consulter les stocks pour un mod\u00e8le ou une taille et pour proc\u00e9der aux paiements par carte.<\/span><\/p>\n

<\/a><\/p>\n

Chez Adidas, c’est l\u2019oppos\u00e9. Le magasin a le design\u00a0d’un “playground” g\u00e9ant qui reprend l\u2019esth\u00e9tique des terrains de basket newyorkais entour\u00e9s de grillages et effectivement les clients ne sont pas libres de payer o\u00f9 qu’ils soient. Huit caisses fixes par \u00e9tage (il y a 4 \u00e9tages) et une file d’attente qui d\u00e9nature la fluidit\u00e9 du magasin.
<\/a><\/p>\n

Les vendeurs sont \u00e9quip\u00e9s de talkie-walkie afin de communiquer entre eux ou pour demander des produits en stock.<\/span><\/p>\n

Deux strat\u00e9gies diff\u00e9rentes qui impliquent deux visions de l’exp\u00e9rience client diff\u00e9rentes. Chez Nike, le vendeur reste avec le client durant tout le processus d’achat: de la demande de renseignement, en passant par l’essayage jusqu’au paiement.
Chez Adidas, on cr\u00e9\u00e9 deux exp\u00e9riences diff\u00e9rentes avec deux employ\u00e9es diff\u00e9rents: l’accompagnement durant le processus de s\u00e9lection et de choix et l’attente aux caisses.<\/span><\/p>\n

<\/a><\/a><\/a><\/a>Share<\/a><\/p>\n

via Bertrand
\nSo Particular<\/a><\/p>\n

via