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Me, my camera et les rappeurs * NY French Geek

Me, my camera et les rappeurs

Posted on July 28, 2012 by admin

Je vis désormais entre Paris et New York et c’est très bien comme ça. Quand tu vois la mort de près, ça te fait voir la vie différemment. Et avec ces nouvelles lunettes sur le nez, mon cher New York me paraît un peu futile finalement. Pas que Paris soit bien mieux hein, mais sur Paname, y’a la famille. Et ça n’a pas de prix la famille… Ca n’a plus de prix. Alors depuis mon Paris tout gris, je me demande ce que je peux vous raconter de doux sur New York. J’y retourne dans quelques semaines (parce que quand même, dur de vivre sans), et j’ai le syndrome de la page blanche. J’ai l’impression d’avoir tout dit en trois ans, des concerts, aux credit cards en passant par le date, Halloween et cette éternelle love/hate relationship avec la ville… What else !? Bah il reste un p’tit quelque chose que je n’ai jamais raconté et qui rythmait pourtant mes journées… Mon job. Toutes ces années à NYC, j’ai eu un taf hors du commun et pas de tout repos ! J’ai couvert l’actualité musicale (enfin urbaine surtout) pour une chaîne française. Caméra et trépied sous le bras, tu me retrouvais chez Motown, Def Jam, Atlantic, EMI, Jive, à des concerts, des release party, des press day, le micro à la main et le point de ma cam’ sur les stars du moment. Plongée, sans masque, dans l’univers de journaliste du ter’ter au féminin… me, my camera… et les rappeurs.

Quand j’arrive en interview, seule avec mon matos, je sais jamais comment les choses vont se passer. Y’a tellement de facteurs variables… Le seul invariable, c’est ma ponctualité. Après, j’ai toujours droit à de drôles de surprises. L’artiste est en retard, fatigué, saoulé, ou…il ne vient pas. Le manager est relou, impatient, pas au courant, le label est injoignable, débordé, ou ils m’ont oublié sur le planning. Et encore là ça va, mais quand je tourne à un évènement, un red carpet, tu peux être sûr que rien ne se passera comme sur le papier. J’me suis mangée tellement de crampes que je les compte même plus… Chris Brown qui pète un plomb et annule à la dernière minute, Drake et Nicki les caractériels, impossible à capter, 50 Cent, tellement entouré que tu sais pas comment l’approcher, Rick Ross et son équipe qui devaient me rappeler… et évidement je te parle pas de Kanye, Jay, Beyoncé, ou Alicia Keys qui sont juste inaccessibles. Pourtant ils sont là, à côté hein. C’est ça le pire en fait. A porté de main mais intouchable. En allant à NYC, je me disais, toutes les stars y sont, trop facile de les capter. Bah que nenni. Naïve que j’étais du haut de mes 25 ans, je pensais que les attachés de presse allaient s’intéresser à la France. Un peu comme les antibiotiques, c’est pas automatique. Y’a une réalité à prendre en compte que j’ignorais alors : La France ça pèse pas lourd. Labels et artistes misent sur les médias qui vont avoir le plus d’impact sur les ventes de disques (à l’ancienne, comme si les disques se vendaient encore)… Alors évidement ils favorisent la promo locale, les TV généralistes, les late-night shows, toutes les chaines musicales, BET, Centric, MTV… et les blogs. Les blogs sont devenus tellement influents maintenant que les maisons de disques les chouchoutent. Au final, un blog US passera avant une chaine étrangère (sauf marchés UK, australien et japonais !) par ordre de priorité. Et puis pour l’international c’est un autre bureau. Un autre contact. Un autre calendrier. Une fois que tu as trouvé le bon interlocuteur, faut lui vendre l’impact de la France, de ta chaine sur la carrière de son gars, « alleeerrr-heuuu, lâche un créneau interview, y’a la tournée européenne à venir, le clip qui entre en rotation, les fans clubs qui crient fort et tout et tout. Ton artiste sera visible en France sans même bouger son boul’ des States… Allerrr-heuuu ». En sachant que leurs artistes écoulent 3000 exemplaires au mieux dans l’hexagone, t’imagines bien que les mecs me calculaient pas tant que ça. J’avais l’impression d’être une commerciale avec du gratuit à donner. Et ils le prenaient même pas ! Le monde à l’envers. Du grand bluff pour quelques minutes d’interview… Et quand ces interviews avaient lieu, bien lieu, calées, programmées, etc…bah c’était souvent un cool échange. Je repartais avec ce qu’il me fallait : une info exclue, un reportage dans la boîte, de quoi faire des news, du buzz, du web etc… Et même humainement c’était intéressant. J’ai eu de belles surprises. Ces artistes qui semblent être de simples interprètes ont souvent plus de choses à partager qu’il n’y parait. Je filais ensuite en taxi jaune jusqu’à mon bureau de Soho, le sourire aux lèvres comme si j’avais remporté une bataille…

Et ma caméra, elle en a enregistrée des anecdotes… Kelly Rowland qui me dit que j’ai une belle peau, Big Sean qui me dit qu’il cuisine trop bien, Jeremih qui bouffe des yeux ma stagiaire, Mary J. Blige qui m’insulte intérieurement parce que mes questions lui plaisent pas, Lloyd qui s’endort, Trey Songz qui m’intimide, Gyptian qui veut m’épouser, le manager de Sean Paul qui veut m’emmener en Jamaïque, Lloyd Banks qui me parle de sa mère les larmes aux yeux, Miguel qui me chante une chanson, T.I qui ne répond pas aux questions, Curren$ y qui est bourré à 10h du matin, Bobby Valentino qui m’arrive à la hanche et qui fait son beau, B.o.B qui me fait rire entre chaque croc de son subway à la dinde, les Far East Movement qui se mettent à danser en pleine interview… J’en passe et je parle même pas des Français que j’ai suivis aux States, de Zaho à Rohff en passant par Shy’m, Ben l’Oncle Soul, Soprano etc ! Ces 3 ans ont été bien galère, hein, parce que débarquer sans un contact et réussir à se faire une place dans cette ‘concrete jungle where dreams are made off’, c’était pas une mince affaire. Mais au final, c’est que du bonheur, même si tous ces efforts n’étaient faits que pour divertir…

Alors, impressions après ces dizaines d’interviews ? Je ne sais pas s’ils sont si enviables que ça ces peoples. Ils font rêver toute une génération, certes, mais leur quotidien a quelque chose de terriblement surfait. C’est difficile à expliquer. Parce qu’il y a le vrai et le faux, ce qu’ils doivent dégager, et ce qu’ils sont. Quant aux rappeurs musclés et tatoués, ils jouent les machos dans leurs clips, ou à la télé, mais c’est un game. En face d’une journaliste ça n’a rien à voir. Jamais un seul artiste (et j’en ai interviewé des ghetto, genre… Waka Flocka!) n’a fait une réflexion sexiste, raciste ou déplacée devant moi. Ils sont bien souvent impressionnés de voir, non pas une équipe de quatre grands renois venir les interviewer, mais une petite meuf en Converses, le sourire franc, qui leur tend un micro et leur parle avec un accent français. Et puis quand tu leur dis que tu tournes pour la France, l’Europe, ils prennent leur meilleur profil et font les mecs sérieux. Ils adorent ! Donc contrairement aux apparences, être une femme, ça a joué en ma faveur pour ce job. Ils sont plus à l’aise, se confient sur des sujets plus sensibles, ils baissent la garde. Et avec l’expérience, je sais comment les aborder maintenant… Après, faut pas se laisser prendre dans le star-system, et pas répondre aux managers qui te font de l’œil, parce qu’ils aguichent tout ce qui bouge. Mais si tu restes pro, même face à ton artiste préféré, sans trembler des genoux, ni demander une photo, bah jackpot, tu peux te hisser au sommet. Encore faut-il le vouloir.

Alors voilà… Pendant toutes ces années à New York, entre deux tweets et quelques blog-posts, je payais mon loyer en allant à la pêche aux artistes. J’ai couru de labels en labels, de release party en release party, de shooting de clip en shooting de clip, de concerts en concerts, pour dégoter des interviews d’américains afin d’amuser notre douce France (enfin surtout les jeunes de 12 à 25 ans qui squattent les chaines musicales du câble)… Alors à défaut d’avoir été divertis par mes images tournées à New York, j’espère que ces mots auront fait l’affaire… Cheers !


The Travelin’ Girl

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